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Toute l'actualité du jeu vidéo et d'autres choses !

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18 septembre 2004

Planning des sorties des prochains hits

GTA San Andreas : 29 Octobre

Pro Evolution Soccer : 14 Octobre

Smackdown Vs. Raw : 26 Novembre L'intro de HBK Shawn Michaels

MGS 3 : Mars 2005 :'(

KillZone : 24 Novembre La vidéo de KillZone

Jak 3 : Décembre

Kingdom Hearts 2 : Mars 2005 :'(

NBA Street 3 : 2005

Tekken 5 : En fin d'année 2004 La vidéo (ne nécessite pas JVTorrent) 

 

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18 septembre 2004

Les Sims 2

                                        

   (Cliquez sur l'image pour downloader la vidéo avec JVTorrent)

 

Quatre ans qu'on se bouffe des add-on des Sims sans jamais voir le bout du tunnel. Quatre longues années qu'on les voit tour à tour faire la java, promener leur chien, partir en vacances ou même se prendre pour Sylvain Mirouf dans des spectacles de magie. Et tout ça, sans jamais se remettre en question sur quoi que ce soit, mais simplement en apportant de nouveaux objets et de nouveaux décors à la base déjà existante. Une sacrée performance qui leur aura permis de devenir le best-seller que l'on connaît. A trop vouloir tirer sur la ficelle, la lassitude s'est finalement installée, allant jusqu'à détourner certains fidèles de leur messie ludique. Il fallait que les Sims réagissent et qu'ils trouvent la bonne formule pour se renouveler. Le moment était venu de faire monter sur scène Les Sims 2.

Parler de révolution pour les Sims 2 serait tout de même un peu exagéré, mieux vaut partir sur une évolution. C'est bien plus sage et juste ainsi. Disons que sur le fond, Les Sims n'ont pas changé tant que ça. Le jeu est toujours une simulation de vie. On crée ses personnages et on les fait vivre en surmontant du mieux possible les petits tracas du quotidien. On leur achète des meubles, on agrandit leur maison, on les fait sympathiser avec leurs voisins, etc. Tout ça n'a pas changé, pas plus que certains points de leur intelligence par moment trop artificielle. Le coup du voisin barbu qui vient taper l'incruste chez vous jusqu'à pas d'heure est toujours là, tout comme celui qui vous fait aller chercher le courrier en pleine nuit en sous-vêtements. Des petits aspects qui ont le chic pour exaspérer même le plus indulgent des joueurs d'autant qu'on nous annonçait une intelligence plus développée. Cependant, sur ce dernier point, on ne peut pas vraiment dire que Electronic Arts se soit entièrement joué de nous car désormais, les Sims possèdent aussi un genre d'instinct de survie qui les poussera à aller manger, dormir ou se laver tout seul. Evidemment, on peut tout à fait leur donner ces ordres nous-mêmes, sans avoir à attendre qu'ils nous les réclament, mais ça fait plaisir de voir qu'ils sont capables d'aller ouvrir le frigo d'eux-mêmes s'ils ont faim. Globalement, l'IA est donc montée d'un petit cran, mais pas encore de quoi justifier une véritable suite.

Alors bon, qu'est-ce qui différencie Les Sims 2 de la ribambelle d'add-on sortis jusque-là ? Tout simplement son système de jeu à la fois plus profond et plus accessible. Plus profond dans le sens où les caractères qui définissent les Sims sont plus nombreux et aussi plus recherchés, et plus accessible car l'interface a été revue pour une prise en main immédiate. Les deux aspects sont d'ailleurs intimement liés. Dès le commencement de la partie, alors qu'on se plonge illico dans l'éditeur de personnages, on voit que les choses n'ont pas été faites à moitié. Outre l'aspect physique extrêmement poussé qui nous fera choisir la couleur des yeux, des cheveux et de la peau, mais aussi la hauteur des oreilles, l'écartement des narines ou encore l'épaisseur de la lèvre inférieure, c'est surtout la définition du caractère de son personnage qui va apporter quelques bouleversements au gameplay. On a le choix entre cinq aspirations et en un clic de souris, on décide si notre Sim aura un penchant pour sa famille, pour sa carrière, pour la connaissance, pour ses amis, ou pour l'amour. Loin d'être anodin, ce choix va conditionner tout un tas de petites choses dans sa future vie, à commencer par ses envies.

En permanence, le jeu nous affiche quatre envies et trois craintes pour chaque personnage. Pour vous donner quelques exemples : un Sim tourné vers son boulot va vraiment tout faire pour décrocher une promotion. Un Sim tourné vers l'amour, lui, pensera aussi à une promotion, mais plutôt du genre canapé celle-là... Loin d'être gadgets, ces envies changent finalement pas mal de choses dans notre façon de jouer puisqu'elles nous guident implicitement et nous donnent des petits objectifs chaque jour. C'est là où le jeu devient peut-être plus accessible. A l'inverse du premier Sims où vous étiez lâché avec vos personnages sans trouver d'autres occupations que d'organiser un barbeuk avec les voisins, Les Sims 2 vous guide et vous montre ce que vos Sims attendent de vous. Toutefois, absolument rien ne vous oblige à les rendre heureux. Libre à vous de laisser s'exprimer votre part de sadisme en les poussant à la dépression. Gniarf !

Dorénavant, vos Sims ont aussi un âge. C'est-à-dire qu'ils vieillissent comme tout le monde. "Du berceau au tombeau", pour reprendre le slogan finement trouvé par Electronic Arts, on suit donc leur parcours en les voyant grandir. Petit à petit, ils passent du stade bébé à celui d'enfant, puis d'adolescent, d'adulte et enfin de senior. La suite dépendra de la vie que vous leur avez donnée. S'ils auront été suffisamment heureux, ils vivront bien longtemps, dans le cas contraire, la faucheuse ne tardera pas à venir les chercher. Mais pas de panique, puisque les Sims peuvent maintenant se reproduire et transmettre leur patrimoine génétique à leur descendance (le côté colérique d'un père pourra se retrouver chez son enfant). Le caractère ne sera pas le seul héritage que les parents légueront à leurs enfants, il y a aussi l'aspect physique. Grâce à l'éditeur de personnages très poussé dont je parlais au-dessus, le nombre de détails physiques donne la possibilité au jeu de mixer les traits des deux parents pour faire naître un enfant tout à fait unique mais dont on peut aisément reconnaître l'affiliation génétique. L'enfant aura par exemple le regard de sa mère et le menton de son père. A ce sujet, un petit éditeur permet très facilement d'établir des liens de parenté entre les différents membres d'une "famille" (conjoints, parents, enfants ou même colocataires).

Les Sims 2 apporte aussi les évolutions graphiques que l'on attendait depuis un bon moment déjà. Fini la 3D isométrique toute raide, place maintenant à la 3D totale qui nous laisse enfin placer la caméra où bon nous semble - encore un point qui facilite la prise en main d'ailleurs... Les divers objets et accessoires à acheter pour embellir notre maison sont bien plus détaillés, mais malheureusement moins nombreux que dans Les Sims 1. Il faut dire que le jeu vient de sortir et que les fans n'ont pas encore eu le temps de se pencher sur l'éditeur d'objets. Cela dit, on peut raisonnablement penser que le catalogue de meubles s'étoffera très rapidement. Une chose qui a par contre considérablement augmenté, c'est le nombre d'animations et d'expressions que nous offrent les Sims pour se faire comprendre. Puisqu'ils ne savent toujours pas parler (ils se contentent d'onomatopées pour discuter entre eux), il fallait bien que leur panel gestuel s'étoffe pour couvrir le nombre de messages à faire passer. C'est largement réussi, et drôle qui plus est !

Tout n'est pourtant pas rose dans Les Sims 2. Comme je l'évoquais en début de test, il réside quelques failles dans l'IA qui rendent certains comportements assez crétins, mais on peut aussi regretter qu'il se dégage un gros sentiment de retour à la case départ en jouant. Je m'explique. Aussi réussi soit-il, Les Sims 2 occulte complètement bon nombre de petits détails que l'on a vu apparaître dans les add-on du premier. Les animaux de compagnie ont par exemple totalement disparu, de même que certains quartiers de la ville. On repart donc de zéro, mais on reste confiant, connaissant et Electronic Arts, et la communauté de fans très réactive, le contenu va rapidement s'étoffer pour rattraper en moins de deux celui du premier épisode.

En bref...
Graphismes
Pour leur grand retour, Les Sims 2 se parent de leurs plus beaux atours. La 3D est bien jolie, elle permet des expressions faciales et des animations très drôles. Attention toutefois, rempli de détails dans tous les coins, le jeu se montre extrêmement gourmand en ressources. En fait, à ce niveau, ce n'est même plus de la gourmandise, mais de la gloutonnerie !
16/20
Jouabilité
L'interface a été légèrement remaniée afin de s'adapter au nouveau gameplay basée sur les craintes et les envies. Que ce soit sur l'éditeur de personnages, de terrains ou dans le jeu lui-même, tout est clair pour nous permettre de maîtriser le jeu en un tour de molette.
17/20
Durée de vie
Marque de fabrique de la série, la durée de vie quasi-infinie devrait vous apporter votre lot de nuits blanches. On passe déjà énormément de temps à façonner ses Sims dans l'éditeur, à choisir leur maquillage, leur coupe de cheveux, etc. donc les voir évoluer chez eux, rencontrer du monde et partager des instants privilégiés avec certains est un spectacle dont on ne se lasse pas.
18/20
Bande son
Toujours aussi drôle, le langage des Sims reste toujours aussi incompréhensible alors que les bruitages empruntent beaucoup à l'univers cartoon pour accentuer chaque faits et gestes. Les musiques qui accompagnent chaque menu font peut-être un peu trop dans l'easy listening. Au moins, elles se font oublier rapidement.
14/20
Scénario
-
-/20
Note générale
Les Sims sont en train de vivre un grand moment de leur carrière vidéoludique. Depuis le temps qu'on attendait une suite, je peux vous dire qu'ils n'avaient pas intérêt à se louper sur ce coup-là. Même si certains points ne sont pas encore totalement irréprochables (IA défaillante, catalogue de meubles un peu vide), le concept revu et corrigé est largement payant. On s'amuse comme des petits fous à contrôler sa famille de Sims et à la suivre au fil des générations. Le jeu se paye même le luxe d'attirer à lui des joueurs qui avaient jusque-là résisté au phénomène. C'est bien la marque des grands jeux, non ?
17/20
17 septembre 2004

GTA : San Andreas

Après avoir découvert les multiples environnements urbains du prochain GTA : San Andreas, Take2 nous invite à une partie de campagne avec ces nouvelles images. Loin de la jungle urbaine de cette Californie reconstituée, le jeu donnera la liberté d'aller faire un tour dans la campagne avoisinante. On y trouvera d'ailleurs des véhicules adaptés à ces lieux peu communs pour un GTA. Outre le monster truck, on notera surtout la présence d'un tracteur-tondeuse (avec l'herbe qui est éjectée derrière, vous remarquerez), et même une moissonneuse-batteuse ! C'est définitif, les gens de Rockstar sont de grands malades.

Source : Jeuxvideo.com

On peut remarquer la bonne qualité des graphismes, le jeu promet d'être une révolution.


Cliquez sur l'image pour downloader le trailer.

17 septembre 2004

Une vidéo de MGS 3


Cliquez sur l'image pour commencer le download
17 septembre 2004

Test de Burnout 3 par moi !

Nouveautés

Nombre de Voitures : 67

Nombre de course : Enormément (je ne sais pas exactement)

Nouveaux modes : Road Rage, Double impact, Duo Crush.

Crash FM : Starman, l'animateur de la radio, vous sortira de bonne vannes, et vous accompagnera tout au long de votre tour de monde Burnout 3.

Modes de Jeu


Tour du monde Burnout 3 : Mode que l'on peut qualifier de mode histoire si on veut. Vous choisissez la zone où vous voulez vous élancer sur une carte de la ville, les modes vont de la simple course au road rage. C'est dans ce mode que vous débloquerez la plupart des voitures.

Course : Rien de plus simple, de 2 à 6 rivaux, le 1er gagne. Jouable à 2.

Road Rage : Le mode le plus fun ! Faire le record de takedowns*,  quelle joie de balancer ses adversaires dans le décor, et regarder le replay de leur crash. Un Takedown = un segment de plus dans votre barre de boost et la barre remplie ! Mais un crash et un segment de moins dans votre barre de boost.Dans ce mode, votre voiture reste dans l'état dans lequel elle est après un crash, quelle joie de la voir se décomposer sous vos yeux. En multi : Vous vous battez avec votre ami et le 1er à réaliser 10 takedowns (soit sur votre ami ou sur vos adversaires ou alors lorsque la voiture d'un des joueurs est bonne pour la casse) gagne.

Contre la Montre : Le boost monte plus vite que d'habitude, et dès que vous appuyez sur R1, Accrochez-vous !!!! Réflexes surhumains nécessaires pour survivre et faire le meilleur chrono.

Crash : Elancez-vous et créez le plus gros carambolage, au bout de plusieurs cartons, vous avez accès au puissant Crashbreaker qui consiste à faire exploser votre caisse pour encore plus tout dégomer XD. Le temps écoulé, contemplez les dégâts et là, le prix des réparations s'affichent, le but : faire le plus gros coût des réparations, et un replay de votre crash. (Jouable jusqu'à 8 en multi, au tour par tour)

Duo Crush : Jouable uniquement en multi, genre de mode crash mais à 2 en même temps ! Tout simplement puissant, vous vous élancez avec votre ami et foncez sur un groupe de camping-car et bien d'autres choses.

Impressions Générales

Graphismes : Somptueux... Les reflets sur les caisses sont tout simplement magnifiques. Pas de cliping, impression de vitesse tout simplement sensationnelle. L'effet un peu flou quand le boost est activé accroît encore + l'impression de vitesse, en vue subjective, je ne vous en parle même pas.

Jouabilité : Vous savez piloter dès l fin de la 1ère course, prise en main exemplaire, la voiture réagit à vos moindres gestes.

Durée de vie : Près de 70 voitures, plus de 170 médailles à collecter, et une multitude de défis, le jeu saura vous tenir en haleine de longues heures.

Bande-Son : C'est Du EA, Superbe, des musiques qui s'associent parfaitement à ce genre de jeu, c'est un plaisir pour les oreilles.

Note : 18/20 Amplement mérité pour ce jeu que l'on peut qualifier de bombe, génial en tout point, à acheter les yeux fermés !


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16 septembre 2004

Burnout 3

Je viens d'acheter aujourd'hui même, Burnout 3 sur PS2, c'est une vraie BOMBE. Graphismes sensationnels, impression de vitesse énorme ! Et un grand choix de voiture et de défis. Je publierais bientôt le test fait par un site de jeux vidéos.

15 septembre 2004

La p'tite présent' rapide

Bon ben, salut, je m'appelle Fran, je suis fan de foot, de catch, j'adore le Nutella ( tout comme ma soeur dont le blog se trouve : Ici ). Ben vous connaissez tout ce qui faut sur moi hein ^_^. Alors je vais dès maintenant commencer à vous tenir informé de l'actu des jeux vidéos. Faut pas hésiter si vous voulez des infos concernant un jeu => Pour télécharger les vidéos que je posterais, vous devrez d'abord télécharger JVTorrent
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